Alain Giresse : “Je suis amer, j’estime qu’à partir du moment que j’ai eu cette rencontre, j’avais aussi le droit à cette reconnaissance”

    (Photo by PIUS UTOMI EKPEI / AFP)

    Questionné par Goal, Alain Giresse n’a pas été recontacté par la direction des Girondins de Bordeaux après avoir rencontré les nouveaux actionnaires en septembre dernier. Pourtant, il aurait aimé que ce titre honorifique lui soit remis. Il s’agit d’un regret aujourd’hui.

    “Je suis un peu amer. Sans réclamer un poste, en me faisant déplacer à Paris pour cet entretien, de le rencontrer puis rien… Quand, par exemple, on voit en Ligue des champions les anciens qui sont autour du club, même s’ils ne marquent pas des buts, c’est une marque de prestige. J’estime qu’à partir du moment que j’ai eu cette rencontre, j’avais aussi le droit à cette reconnaissance […] Mes liens avec le club ? Chaque fois que j’allais aux matches, j’étais reçu par les présidents que ce soit Jean-Louis Triaud puis son successeur, Stéphane Martin. Je participais aux présentations de l’équipes, à titre amical. C’était devenu, entre guillemets ‘automatique’. À partir du moment où ça change, avec une nouvelle direction, c’est à eux d’aller vers les gens, d’accorder ou non un titre comme forme de reconnaissance. En plus, je suis du coin. Je suis un pur girondin”.

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