Hugo Varela n’en est pas à sa première implication dans le rachat des Girondins de Bordeaux. Impliqué dans la restructuration du club espagnol de Malaga et plus anciennement du Panathinaikos, il compare aujourd’hui, pour L’Equipe, le club bordelais et le club grec, au niveau de sa mission. « Parce que c’est difficile de changer une culture, les gens ont l’habitude de travailler d’une certaine façon. En Espagne et au Portugal, c’est plus facile de “nettoyer”». 

Deja impliqué dans la restructuration de Malaga et du “Pana”, Hugo Varela compare les @girondins à ce qu’il a connu en 🇬🇷. «Parce que c difficile de changer une culture, les gens ont l’habitude de travailler d’1 certaine façon. En Espagne/Portugal, c est + facile de “nettoyer”»

— Emery Taisne (@EmeryTaisne) May 9, 2019

Emery Taisne, journaliste L’Equipe pour les Girondins de Bordeaux, avait également ce matin rapporté d’autres propos notamment en rapport avec la “stratégie” pour le centre de formation. “Combien de joueur Bordeaux a t-il vendu ces dernières années en provenance de son Académie ?”. Le dernier en date, vendu à un excellent prix, fut Adam Ounas. Et encore, ce dernier est arrivé sur le tard de Tours.

Hugo Varela laisse entrevoir l’un des enjeux du projet bordelais à travers cette question : « combien de joueurs de son académie Bordeaux a-t-il vendu ces dernières années ? » Il aurait pu ajouter et pour combien 🤔 @lequipe @girondins

— Emery Taisne (@EmeryTaisne) May 9, 2019