Il faudra se concentrer sur quoi pour essayer de sortir la tête de l’eau ? Pour Eric Bédouet, c’est simple, c’est “notre concentration, ne pas avoir des sauts de concentration, d’être très impliqué dans tout ce qu’on fait. Je pense que les joueurs l’ont, ce n’est pas le problème. Il y a des moments où on a des petites échappées comme ça, boum… Des petites choses qui font qu’il suffit de faire le geste juste au moment où il faut. Ça peut vite dérayer et des fois ça a des incidences graves. C’est ce genre de truc-là. Moi ce que je souhaite, ce n’est pas de perdre ou gagner, c’est de donner le maximum sur terrain, d’être au maximum sur le terrain, de se dépouiller sur le terrain. Je trouve que c’est la moindre des choses quand on est un professionnel mais ce n’est pas toujours compris dans ce sens-là. Il faut faire ça. On l’a bien vu contre Strasbourg ce que ça donne d’avoir une équipe qui est au combat, qui se bat. Même si on a marqué quand même deux buts… Tout n’est pas à jeter contre Strasbourg. On n’a pas la qualification, là-dessus il n’y a rien à dire. On marque deux buts là-bas alors que souvent on a des difficultés pour marquer. On fait des petites erreurs sur des placements, il y a toujours des erreurs sur les buts qu’on prend c’est normal. Mais il faut avoir plus d’envie, il faut s’arracher sur les matches, il faut avoir de l’intensité, de l’agressivité, de la bonne agressivité. Il faut terminer les matches complètement cuit. Je ne dis pas qu’on n’est pas cuit, mais on ne lâche rien, il ne faut rien lâcher ! Après, il arrive ce qui arrive. On peut perdre un match, ça peut arriver et ça arrivera mais au moins on n’a pas de regrets”.

Retranscription Girondins4ever

 

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