Geraldo Wendel : “À Bordeaux, nous étions tous à notre apogée”

    Wendel et Fernando

     

    Geraldo Wendel, questionné sur le fait que beaucoup de joueurs après le titre de 2009 des Girondins de Bordeaux n’aient pas percé dans de plus grands clubs, a expliqué que lui aussi, il est “parti à 30 ans, je pensais faire encore de bonnes saisons mais ce n’était pas évident. À Bordeaux, nous étions tous à notre apogée. Je pouvais centrer les yeux fermés sur Chamakh, je savais que ça ferait but. On a tous eu des destins particuliers. Pareil pour Laurent Blanc, même s’il a été trois fois champion de France avec Paris, il doit prendre son temps je pense pour retrouver un nouveau défi”.

    Vient ensuite l’argument de la tranquillité de Haillan, ce à quoi le brésilien rétorque : “Je ne suis pas d’accord. Peut-être que deux, trois joueurs par saison se sentent dans leur zone de confort mais le reste, je peux vous garantir que ça ne chômait pas. Il faut être performant sinon les supporters sifflent, les dirigeants demandent des comptes…Les Girondins ne sont pas un club de vacances”.

    Goal