[J14] Les tops/flops Girondins4Ever de Dijon-Bordeaux

    bandicam 2018-11-24 21-05-05-176

    Pour faire suite aux notes publiées il y a quelques minutes, la rédaction de Girondins4Ever s’attarde désormais sur les tops/flops coté bordelais de ce soir. Voici nos deux catégories :

    Le Top

    Benoit Costil (6/10) : Unique satisfaction de ce match. Il a repoussé les quelques offensives dijonnaises, notamment devant Abeid. Pas énormément de travail, mais du travail bien fait. Cela reste le meilleur bordelais ce soir, c’est pour dire…

     

    Les Flops

    Younousse Sankharé (4/10) : On s’entête encore à croire qu’il sera notre milieu créateur à priori. Encore un match qui nous prouve le contraire. Et ce n’est pas une frappe directement sur le parking de Gaston Gérard qui va nous contredire. 37 ballons touchés pour un joueur évoluant dans le cœur du jeu. Tout est dit, c’est clairement insuffisant et véridique d’un problème d’animation offensive criant.

    François Kamano (4/10) : Hors-jeu sur le premier but refusé à Bordeaux, le guinéen n’aura rien créé d’autre. 33 ballons touchés en 75 minutes, pour un match qui est proche d’être son plus mauvais de sa carrière à Bordeaux. Une descente aux enfers qui continue. Ou va t-elle s’arrêter ? Dans un autre club ? Hum, attention les sujets sensibles.

    Jimmy Briand (4/10) : Beaucoup de courses, mais constamment dans le vide. Très peu de ballons touchés, seulement 17 en plus d’une heure, c’est très peu. Et dont 5 perdus. Un apport inexistant donc, comme souvent sur ses dernières sorties. Cela commence à devenir inquiétant.

    Les entrants (0/10) : Une catastrophe. Un Andreas Cornelius mauvais, pas dans le rythme, et pas juste dans ses passes. Un Samuel Kalu complètement à l’ouest et pas concerné, surement encore endormi. Et l’entrée de Lukas Lerager témoigne des convictions pas tellement offensives du coach, laissant Nicolas De Préville -qui était resté toute la trêve à Bordeaux- sur le banc des remplaçants. Trois remplacements inutiles. Les mots sont forts, mais c’est la triste réalité.