Viviane Asseyi revient sur les 4 défaites consécutives en championnat de D1, série qui a pris fin face à Lille et cette victoire 0-2. « Prendre cinq buts au Paris FC, c’est un peu beaucoup, même si elles ont été efficaces. Paris aussi, cela reste en travers de la gorge parce que je pense qu’on a fait un bon match, mais malheureusement à la fin on leur a fait un cadeau… Et bien sûr Metz, perdre là-bas ça fait mal, parce qu’on avait dominé toute la partie quand même. Au final, je pense que ça nous a remis plus dans le bon chemin qu’autre chose. Les gens nous ont vus très bien, mais nous non, en interne…. On a un objectif commun, on sait ce qu’on veut faire. On était contentes parce qu’on gagnait, comme quand on a gagné contre Montpellier, mais on ne s’est jamais dit qu’on allait jouer les premières places ».

Pour assurer l’objectif principal qui est le maintien, il faudra aborder la suite du championnat avec autant de sérieux qu’en début de saison. « Il faut le maximum de points jusqu’à la trêve, c’est évident. Après, on prend match après match. C’était Lille, maintenant on prend Soyaux. Chaque semaine on va faire comme ça. Il faut retrouver la victoire à domicile aussi, c’est important. Non il n’y a pas de doute quand on ne gagne pas chez soi. Je l’ai toujours dit, il ne doit pas y avoir de doute dans le football. A partir du moment où tu commences à doutes, tes performances ne vont pas être à la hauteur de ce qu’elles devraient être. Je dirais plus qu’il y a eu beaucoup de remises en question, parce que si on ne gagne pas un match c’est qu’il y a un problème quelque part […] Ce sont des remises en question individuelles et collectives. On a toutes à cœur de bien faire les choses, de ne pas rester sur des défaites, de ne pas réagir. La force de Bordeaux, c’est le collectif, clairement. A l’entrainement on travaille toutes ensemble, on sait rigoler, travailler, alterner les deux et c’est important ».

GoldFM

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