Le milieu de terrain tchèque des Girondins de Bordeaux, Jaroslav Plasil, suit en parallèle de sa carrière de joueur, des formations pour devenir coach. Le bordelais a expliqué l’admiration qu’il avait pour se métier, mais aussi le respect pour une profession difficile. “J’ai passé le BEF en 2017, mais j’ai encore envie de profiter en tant que joueur. Comme on dit, ce qui est déjà fait n’est plus à faire. Je vais de temps en temps m’occuper des jeunes dès que je le peux, mais c’est compliqué niveau timing. Coach Plasil, il faut déjà qu’il apprenne. Quand on est joueur, on peut voir des choses. En tant que coach, c’est complètement différent. Tu ressens les choses, mais comment les faire ressentir à tes joueurs ? Bien sûr qu’un entraîneur, c’est une sorte de psychologue. Mais c’est aussi de la gestion, du management. Tu as une trentaine de mecs qui veulent jouer et tu dois faire des choix. T’es là pour ça. C’est toi le responsable […] Être entraîneur, c’est un boulot énorme.Ça prend beaucoup de temps. Ce qui est beau, c’est que c’est dévorant. Quand je trouve une chose difficile, j’ai envie de la faire à fond”.

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