Paul Bernardoni : “On a tout de suite élaboré une ligne de mire et on travaille tous dans le même sens”

    Photo Nimes Olympique
    Paul Bernardoni
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    Comme vous le savez, Paul Bernardoni a été prêté pour une saison par les Girondins de Bordeaux, au Nîmes Olympique. Le portier a confié ses impressions et son bonheur d’évoluer dans un club où il sera le numéro 1 cette saison en Ligue 1. “Je suis très heureux ! Très heureux pour commencer, car je continue dans ma progression, je continue à jouer. Si j’y suis allé, c’est que le projet m’intéressait. Très heureux, j’ai été très bien accueilli, on a déjà commencé les entraînements, c’est assez intensif. Donc on se prépare bien pour le début du championnat”. C’est nul autre que Bernard Blaquart, girondin de 1976 à 1981, qui a fait venir le meilleur gardien de Ligue 2 de la saison 2017-2018. “Avec le coach, ça a été très simple. J’ai eu le coach, le directeur sportif et l’entraîneur des gardiens au téléphone et les 3 ont eu le même discours. Je viens pour être numéro un, pour jouer, pour progresser. On a tout de suite élaboré une ligne de mire et on travaille tous dans le même sens”

     

    Bien sûr, Paul n’avait pas que l’intérêt de Nîmes, mais cela semblait une évidence pour lui. “Il y en a eu mais, Nîmes était la plus concrète et c’est aussi celle qui m’intéressait le plus. À vrai dire, à partir du moment où Nîmes est arrivé, même s’il y en avait peut-être une autre (offre), je me suis concentré sur celle-ci, et on a tout fait pour que ça passe”. Car le jeune gardien a envie “individuellement, de réaliser une grosse saison, de rester sur les mêmes bases qu’à Clermont. Bien progresser, franchir des capes, encore et toujours. Réaliser une grosse saison. Pour le Nîmes Olympique, faire une énorme saison, essayer de se maintenir, faire un peu comme on fait Amiens, Strasbourg”.

     

    Vraisemblablement, en plus, il affrontera le FCGB au moins deux fois cette saison, en championnat. “Oui, il n’y a pas de clause, donc je devrais jouer oui”.

    L’intégralité de l’interview Girondins4Ever de Paul Bernardoni, ICI