Maxime Poundjé : “Je me souviendrai toujours du regard de mes coéquipiers qui étaient contents pour moi…”

    Maxime Poundjé et Jaroslav Plasil

     

    A la cave toute la première partie de la saison des Girondins de Bordeaux, Maxime Poundjé s’est souvenu de son retour à la compétition lors d’un Toulouse-Bordeaux. Il se souvient également du regard de ses coéquipiers qui ont compris la veille qu’il allait avoir de nouveau sa chance. “La veille du match, j’avais une chasuble dans une équipe qui, peut-être, allait débuter le lendemain. Je me souviendrai toujours du regard de mes coéquipiers qui étaient contents pour moi. Cela faisait chaud au cœur. Je les remercie tous. Le groupe, les joueurs ont toujours été top, impeccables avec moi. Tous les entraîneurs de la formation m’ont toujours soutenu, ils ont toujours eu un petit mot cool pour m’encourager, que ce soit Matthieu Chalmé, Philippe Lucas à qui je souhaite beaucoup de courage, Patrick Battiston et même Jean-Jacques Gresser, ils m’ont tous soutenu dans ces moments difficiles […] Vous savez, quand on part de rien… Sur ce match, je me suis dit qu’il fallait que je fasse mon taf. Il fallait répondre présent. Tu essaies de faire abstraction du fait que tu n’as pas joué depuis un moment. Il faut être présent au maximum. Après, parfois, ça tourne bien, parfois moins bien. Je ne pense jamais aux choses négatives”.

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