Philippe Fargeon est revenu sur la titularisation de Jaroslav Plasil face à l’OGC Nice, qui a été l’une des surprises de la composition de Gustavo Poyet. « Je crois qu’un joueur de 36 ans, c’est peut-être bien qu’il débute le match plutôt que de rentrer parce que c’est difficile de rentrer suivant le rythme, on a plus de difficultés. Plasil est un joueur qui peut commencer et dès qu’on commence à avoir plus de difficulté, on peut faire un changement, c’est comme ça que j’imagine Plasil aujourd’hui. Gustavo Poyet lui a fait confiance et il a tenu 90 minutes. Il est plus utile de le faire jouer dès le départ plutôt que de le faire rentrer […] Une sentinelle a moins d’efforts physiques à faire qu’un 8 ou un 6. Ça a été une bonne surprise, comme tous ceux qui sont entrés d’ailleurs. Cela prouve que le groupe est motivé, que le groupe est conscient qu’à n’importe quel moment l’entraineur peut faire des choix […] C’est le Plasil qu’on a connu à son arrivée, capable de tout faire, avec une vision du jeu très intéressante. Il a l’expérience de pouvoir savoir gérer ses efforts. On ne l’avait pas vu depuis un certain temps car on avait pris pas mal de milieux relayeurs ou défensifs. L’entraineur n’a que des éloges pour lui, donc cela motive ceux qui ont son âge, qui se disent qu’ils ont encore un ou deux ans de carrière (sourire) ».

GoldFM

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