Question un peu plus décalée, en conférence de presse. Un journaliste a demandé comment l’entraineur des Girondins de Bordeaux, Gustavo Poyet, faisait pour avoir un sourire aussi éclatant. « Oui, j’ai pris un coup là – je l’explique comme ça c’est plus facile – quand je jouais à Saragosse. Je ne peux pas dire le nom mais il m’a cassé les dents. J’ai essayé des choses pour sortir le problème mais dix ans après, quand j’ai arrêté ma carrière, c’était plus facile de le soigner. Et ma femme est contente alors ça va bien, c’est mieux (sourire) ».

 

Plus sérieusement d’où lui vient le fait d’avoir toujours le sourire, d’avoir l’air heureux ? « Le football, c’est un jeu. Moi quand je joue à quelque chose, je vais me divertir, c’est quelque chose de bien. Il ne faut pas penser que c’est la fête, ce n’est pas ça. Mais il faut être joyeux, avoir de la joie parce que sinon tu ne peux pas rester dix mois avec la tête toujours malade… Ce n’est pas possible. C’est plus facile. Dimanche à 21 heures, ça sera peut-être différent. C’est pour ça que je pense que c’est mieux pour tout le monde. Je suis contagieux ? Merci beaucoup. Ce n’est pas mal d’être contagieux sur ça. Je ne veux pas être contagieux pour quelque chose de mauvais ».

 

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