Carton jaune pour Thomas Monconduit après une semelle sur Lukas Lerager après avoir perdu le ballon à 45 mètres du but (50ème). Deux minutes plus tard, premier changement pour les visiteurs. Guy Ngosso, buteur au match aller, est remplacé par Moussa Konaté. L’attaquant colombien d’Amiens, Mendoza, dribble Benoit Costil mais il pousse trop loin son ballon, du coup Maxime Poundjé peut intervenir pour le contrer. Sur cette action, Benoit Costil et Pablo Castro se sont percutés violemment. Les deux hommes restent au sol et le jeu est arrêté pendant quelques minutes. Le portier bordelais se voit poser un bandage au niveau de son arcade. Encore un peu sonné, il est coupable d’une petite mésentente avec Jules Koundé sur l’action suivante. Une minute plus tard, il est en revanche impeccable sur une frappe excentré côté droit de Mendoza. 70ème, deux changements pour Gustavo Poyet. Gaetan Laborde et Otávio sortent, Younousse Sankharé et François Kamano entrent. 72ème minute, Moussa Konaté place une tête au point de penalty mais c’est trop croisé. Benoit Costil est décisif à la 75ème minute. Il détourne magnifiquement, sur sa barre, une tête amiénoise. Dans la foulée, François Kamano corse l’addition pour Bordeaux (3-0). Il profite d’une déviation au premier poteau sur un corner pour fusiller le portier des visiteurs au second (77ème). Deux minutes plus tard, Amiens réduit le score grâce à son attaquant colombien, Mendoza. Ce dernier profite d’une mauvaise passe en retrait de Lukas Lerager pour aller se présenter seul devant Benoit Costil (3-1). 83ème minute, Malcom est remplacé par Paul Baysse. 89ème minute, nouveau but pour Amiens. Gael Kakuta place une tête victorieuse au point de penalty (3-2). 6 minutes de temps additionnel… Mendoza se manque totalement sur sa reprise de volée (93ème). Bordeaux tient le choc sur plusieurs corners d’Amiens. François Kamano part en contre mais il manque son face à face, le ballon est renvoyé par le poteau (95ème). 96ème dernier coup-franc de Gael Kakuta… C’est dans les bras de Benoit Costil ! C’est terminé !