Laurent Blanc : “C’est quand même plus légitime de prendre un projet en juin, pour le recrutement…”

    Laurent Blanc et Jean-Pierre Bernes

     

    Laurent Blanc, depuis qu’il est libre de tout contrat, n’a pas reçu de propositions de France. “Il faut qu’il y ait une proposition concrète en France pour que ce soit pris en compte. Ce n’est pas le cas. Il y a eu des propositions étrangères mais voilà…Et puis je suis quelqu’un d’assez têtu, je voulais une proposition pour un projet de départ, dès le mois de juin. C’est quand même plus légitime de
    prendre un projet en juin, pour le recrutement, pour avoir le temps – si on en a – qu’en plein milieu de la saison à part pour une proposition qui ne peut pas se refuser, dans un club qu’on ne peut pas refuser”.

     

    Il y eut également la possibilité de redevenir sélectionneur, notamment des Etats-Unis, un poste qui lui a été proposé. “J’ai été sollicité. Oui pour reprendre un projet dans un club, non pour reprendre une sélection. Encore moins une sélection d’un autre pays. Il y a des gens qui m’ont proposé le poste (les États-Unis, ndlr), j’ai été assez fier d’être sollicité mais je réponds franchement: ‘merci, mais je ne crois pas que ce soit le bon choix'”.

     

    La Provence