Une première fois après le match, Marius Trésor avait traité de l’arbitrage de Toulouse-Bordeaux, en Coupe de la ligue. L’ancien défenseur central des Girondins en a remis une couche sur les ondes de GoldFM. « Corentin Jean a dit qu’il avait très bien joué le coup donc quand tu entends le joueurs dire ça, c’est qu’il n’y a pas faute, sinon il ne va pas le clamer sur les toits. L’arbitre s’est laissé avoir et contre Toulouse, qui défensivement est assez costaud (meilleure défense à domicile, 5 buts encaissés)… Comme on n’est pas extraordinaire, on a eu du mal à revenir au score. Ce deuxième but a été difficile qu’on prend presque d’entrée […] Tu es toujours à la merci d’une mauvaise décision ou d’une erreur défensive pour prendre un but. Mais si tu es incapable de marquer, tu ne peux pas gagner de match […] Bon, les gens le savent, je suis girondin, mais quand il y a une faute qui n’y est pas et qui est sifflée en faveur des Girondins, je le dis. Mais là, quand on voit au départ de cette action, qu’il y a une faute sur De Préville, une faute sur Sankharé, et qu’à la fin de cette action il va siffler un pénalty… Il parait qu’un ancien a dit que si Bordeaux était en difficulté, c’était à cause de Monsieur de Tavernost et de moi… Je suis sévère avec les arbitres parce que contrairement à avant, contre j’étais arbitré par Robert Wurtz et que je voyais les kilomètres que ce Monsieur faisait sur un terrain… Parfois, il nous gênait parce qu’il était au cœur de l’action, et il voyait s’il y avait faute ou pas. Maintenant, on a les oreillettes, on ne court pas beaucoup, et on arbitre… On a vu à deux ou trois reprises l’arbitre de touche qui a signalé des hors-jeux alors que les joueurs étaient sur la même ligne. Il faut vraiment avoir un œil très persan pour, à quelques centimètres près, voir s’il y a hors-jeu ou pas. On disait qu’l fallait favoriser l’attaque, et maintenant c’est sifflé contre les attaquants ».

 

GoldFM

Retranscription Girondins4Ever