Jocelyn Gourvennec : “Oui, les faits de jeu… Mais je n’ai pas envie de parler de ça, de l’arbitrage…”

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    Au terme de la rencontre, Jocelyn Gourvennec est revenu sur l’élimination des Girondins de Bordeaux en Coupe de la Ligue, face à Toulouse (2-0). « On est d’abord déçus parce que la Coupe, il faut passer. C’est ce qu’on veut, être au tirage… On prend un pénalty évitable en première mi-temps, et un corner avec une déviation en seconde. On n’a pas donné grand-chose à Toulouse, mais on est dans une période difficile où les choses ne sourient pas. On a plusieurs fois l’occasion d’ouvrir le score en première mi-temps. On a été imprécis sur des coups qu’on avait à jouer. Lafont a fait deux arrêts en seconde mi-temps aussi, voilà… C’est difficile parce qu’on voit bien que les joueurs sont impliqués, dont les choses ensemble. On a été cohérents encore ce soir comme on l’a déjà été depuis un petit moment. On a corrigé par rapport à Strasbourg où ça n’avait pas été bon du tout. Mais aujourd’hui, ce n’est pas suffisant. Il y a eu des bonnes choses, des joueurs qui n’avaient pas joué depuis un moment, qui ont fait leur entrée, et qui ont répondu présent. Il y a des motifs de satisfaction. Mais après, la soirée, en Coupe, quand on ne passe pas, on est éliminés… ».

     

    Et lorsqu’on lui fait remarquer qu’en plus du manque de réalisme, il y a des faits de jeu, d’arbitrage, en cette période… «  Oui, les faits de jeu… Mais je n’ai pas envie de parler de ça, de l’arbitrage. Je veux mettre mon énergie pour améliorer l’équipe, pour que les joueurs se sentent mieux, les mettre dans les meilleures conditions. Il faut qu’on fasse mieux, plus, que vraiment on arrive à avoir ce petit déclic. Les joueurs ont envie de ça. Après, on est un peu fragiles aujourd’hui parce que ça ne sourit pas. Vous l’avez vu comme moi, les ballons déviés ne sont pas pour nous… Il y a plein de petites choses comme ça qui ne tournent pas pour nous. Mais on ne va pas se plaindre, je n’ai pas envie de me plaindre, je n’ai pas envie qu’on soit là à se dire que ce ne sont que les faits de jeu. Il faut qu’on agisse sur ce on quoi on peut agir ».

     

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