Jocelyn Gourvennec sur la difficulté de protéger son groupe face aux critiques portant sur leurs résultats et à cette mauvaise série dans laquelle ils sont embarqués. « Compliqué de protéger son groupe ? Ça, ce sont des choses qu’on ne peut pas beaucoup maîtriser. Les commentaires existeront toujours, que l’on soit critiqué quand ça ne se passe pas bien, c’est logique. Ce qui est plus compliqué à accepter c’est quand il y a de bonnes périodes et qu’on soit là aussi critiqué parce que ce n’est jamais assez bien. Ça a déjà été le cas récemment. Mais cela fait partie du métier. Après, mon rôle c’est d’insister sur le fait que le groupe doit rester uni, solidaire, et pas seulement l’équipe qui joue le week-end mais tout le vestiaire. Quand une équipe fait de la compétition, elle défend son vestiaire, c’est très important. Y compris ceux qui ne sont pas là, blessés, ou pas retenus. D’avoir cette unité de vestiaire, on a besoin de ça. Après, je considère toujours que quand il y a des périodes un peu moins bien, c’est le cas actuellement, c’est mieux que les joueurs ne se dispersent pas, se concentrent sur leur métier, sur la préparation du match qui arrive. C’est mieux de ne pas aller dans les sollicitations parce qu’il y a un match à préparer et c’est plus sage de rester là-dessus ».

 

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