Philippe Fargeon souhaite du changement. Même si Bordeaux a quelque peu permuté devant face à Amiens, Jocelyn Gourvennec aurait dû changer plus tôt car il y eut quelques signes que tout n’allait pas au mieux. « Depuis un certain temps, on a une ossature de cette équipe. L’ossature a pour qualité de pouvoir s’appuyer sur quelque chose de concret, mais aussi il y a aussi à un moment une remise en cause de ces joueurs moins importante que des joueurs qui peuvent entrer sur le terrain et qui ne sont pas sûrs d’être titulaires. Là, on a une ossature de six-sept joueurs titulaires, et qui n’ont peut-être plus la même motivation pour garder leur place de titulaire. A des moments, il faut savoir changer, évoluer, pour remettre en jeu des joueurs […] Ce soir, on a changé deux attaquants, qui ne sont pas dans le système de jeu, enfin ce n’est pas l’ossature elle-même. Je suis totalement d’accord pour dire que quand il y a des résultats, on ne change pas. Seulement, quand on commence à avoir un moment plus laborieux, on doit changer ».

 

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