Grâce à un recrutement actif cet été, Jérôme Dauba dispose d’un groupe un peu plus étoffé que la saison dernière. Du coup, quelques ‘anciennes’ jouent moins, la concurrence est plus rude, et les choix deviennent plus difficiles le week-end pour l’entraîneur des féminines.

 

« Une saison, c’est très long. Qu’elles continuent à bosser. C’est là qu’il va bien falloir gérer le groupe et réussir à concerner tout le monde. Quand la dynamique de résultats est présente, c’est plus facile à gérer […] C’est peut-être aussi parfois le bon moment pour donner du temps de jeu à des joueuses quand la dynamique est bonne… Elles bossent toutes très bien. Cela veut dire que si on doit changer quelques joueuses, le jeu d’équipe ne va pas s’en ressentir. Après, il y a des joueuses qui ont plus certains profils à jouer, en fonction des adversaires aussi. On sait très bien qu’il y a des joueuses qui auront du temps de jeu, c’est obligé. On connaît leurs qualités, c’est obligé […] C’est ce qu’on veut. C’est ça qui va créer une bonne dynamique. On se faisait la réflexion avec le staff en rentrant de Fleury, que celles qui n’étaient pas dans le groupe vont tout faire pour être contre Marseille. C’est ce qui est intéressant quand il y a une dynamique positive. Elles se disent qu’il faut qu’elles fassent plus pour au moins gagner une place dans le groupe, etc. C’est intéressant. Alors que si on perd, elles se disent que celles qui ont joué ont perdu, donc le coach va peut-être tourner. Là, la dynamique ne reste pas la même ».

 

 

GoldFM

Retranscription Girondins4Ever