Pour Gold FM, Olivier Verdon a raconté son parcours avant d’arriver aux Girondins de Bordeaux. « J’ai commencé le foot à 5 ans dans un club de banlieue parisienne. J’ai fait toutes mes classes là-bas jusqu’en U17. Ensuite, je suis retourné dans le club de la ville où j’habitais pendant une année, puis par la suite je suis parti en senior B dans un club de la banlieue rémoise, où j’ai passé une année. Ensuite, je suis parti en CFA2 à Angoulême, à 18 ans, où j’ai joué pendant un an et demi avant d’atterrir à Bordeaux à 20 ans. C’est un choix qui a été fait avec mon entourage, et avec l’aide de mon agent. On a pris cette décision ensemble et voilà où ça m’a emmené ; je ne regrette rien ».

 

Malgré tout, tout ne fut pas si simple pour le défenseur de la réserve qui connut des blessure qui freinèrent son ascension. « C’était vraiment frustrant parce que j’avais pour objectif de taper à la porte des professionnels le plus vite possible, tout en aidant la CFA. Je me suis blessé deux fois derrière la cuisse donc cela m’a un peu freiné. Mais c’est un mal pour un bien car maintenant j’ai pris le rythme de travail. Cela m’a permis de m’adapter aussi d’une certaine manière […] A l’issue de cette blessure, je me suis bien reposé cet été. J’avais fait une bonne préparation, et plus le temps passait, plus je voyais que ma douleur ne revenait pas. Dès le début je me suis senti bien, et je me suis dit que ça allait être le bon moment ».

 

Il put aussi forcément constater la qualité des infrastructures bordelaises. « Avec Bordeaux, il y a une grosse différence au niveau des infrastructures. C’est plus professionnel ici, on le sent tout de suite. Ça m’a fait beaucoup de bien pour progresser et en un an et demi à Bordeaux, je sens que j’ai vraiment progressé ».

GoldFM

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