Interrogé sur la possibilité qu’il y ait une grosse offre à l’intersaison sur Malcom ou Adam Ounas par exemple, Jocelyn Gourvennec a répondu que le club ferait tout pour les remplacer si ces offres sont très intéressantes. Mias pour l’instant, il n’y a rien.

« C’est possible, ils sont vus, revus. A tous les matches, domicile et extérieur, on a les listes des clubs représentés et quand vous listes, et qu’au Matmut il y a toujours les mêmes qui reviennent, cela veut dire qu’ils ont vu des matches… Tout le monde voit des choses, et en tribunes ils les voient aussi… Ce ne serait étonnant. Ils ont performé, ça peut… Maintenant… On souhaite les conserver pour continuer le travail. Ils sont jeunes, progressent et vivre pour eux la Coupe d’Europe ce serait un plus. Une expérience supplémentaire qui fait toujours grandir, le club comme les joueurs. En revanche, s’il y a un club puissant qui fait une offre qui est difficilement refusable, Bordeaux fera comme tous les autres… On écoutera. Quand un joueur est sollicité par un grand club, et qu’ils mettent les chiffres sur les indemnités de transfert et sur les salaires, à un moment c’est difficile de rivaliser. Le cas échéant donc, on verra. Mais à ce jour il n’y a rien […] Je crois pas qu’il y a de joueurs intransférables. Après, c’est toujours une question d’offre et de demande. Le principal c’est que s’il doit y avoir des départs, et de joueur majeur, l’idée c’est que ça ne se fasse pas le 31 aout en fin de journée. Si à ce jour il devait y avoir des départs non prévus mais parce que les offres sont difficilement refusables, notre travail c’est de cibler en amont des joueurs pour qu’on ne soit pas pris au dépourvu si on était attaqué sur un de nos joueurs ».

 

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