[AJ] [J+1] Les meilleurs moments de l’émission avec un Cheick vraiment sans limite !

     

    Dans ce dernier J+1 de la saison, l’invité était Cheick Diabaté, l’attaquant de Metz, et l’ancien de Bordeaux. Entre une partie de basket avec Julien Cazarre, un large sourire toute l’émission, et des petites phrases qui font du géant malien un personnage attachant, voici en vidéo, ou en retranscription, les meilleurs moments de notre ancien attaquant dans l’émission.

     

    “Ça fait vraiment plaisir de voir ça. C’est vrai que quand je joue au foot j’essaye de faire tout ce que je peux pour faire plaisir aux supporters. Ça me fait plaisir de voir ça. Ça veut dire qu’à chaque fois que je joue, je me donne à fond donc ça m’encourage encore plus. Le moment où je suis le plus heureux ? Je dirais après une victoire, c’est là que je suis très très content. Ça s’est bien passé parce que déjà quand je suis arrivé à Metz, ils m’ont bien accueilli donc ça aide énormément. J’ai eu la chance de tomber sur des bons mecs. Les joueurs ont été très gentils avec moi, ils m’ont dit ‘Cheikh si t’as besoin de quelque chose, nous sommes là’. Ça fait que ça m’a mis en confiance. Le coach aussi et tout le staff. Je me suis dit que j’allais leur dire merci sur le terrain. J’ai joué avec l’envie de faire un bon match envie de marquer et ça s’est bien passé”.

    “Énormément ! Ça m’a permis d’être là aujourd’hui avec vous, donc je peux rien dire, je suis très content, c’est vrai que la France me manquait et vous aussi vous me manquiez aussi”.

    Concernant son avenir, rien est pour le moment décidé. “Pour le moment je sais pas du tout. Je sais pas ce que je vais faire. On verra dans l’avenir. Je suis quelqu’un qui aime bien jouer au foot, du moment qu’il y a un ballon, qu’il y a un terrain de foot, je peux jouer partout”.

    “Ce que j’ai envie de faire aujourd’hui, après je peux me tromper, c’est de rentrer chez moi, en Afrique. Mais c’est vrai que ce qui m’inquiète c’est que vous allez énormément me manquer. J’ai passé tellement de bons moments dans le foot. En plus j’aime bien le foot donc tout ce que j’ai fait ce ne sont que de bonnes choses pour moi […] Je trouve que la vie elle est belle. Il faut passer de bons moments, il faut profiter, pour moi il n’y a pas de problème si on est gentils entre nous”.

    Il conclut l’émission avec un discours porteur d’amour. “Déjà pour être très clair, je suis très très content d’être parmi vous. Je me suis mis debout, ça me permet de regarder devant, à droite, à gauche, je regarde tout le monde. En tout cas, c’est un plaisir pour moi d’être là, franchement. C’est un plaisir pour moi et je suis en train de passer un moment extraordinaire avec vous. Comme je l’ai dit souvent, dans la vie, il faut se respecter, ça ne sert à rien d’être méchant. Il faut passer des bons moments ensemble. Je suis vraiment en train de passer un très très bon moment avec vous. Par contre, je m’inquiète. Vous allez me dire pourquoi Cheick ? Pourtant il dit que la vie elle est belle ? Je m’inquiète tout simplement parce que depuis tout à l’heure je suis en train de me dire, dans 5 ans, dans 10 ans, dans 30 ans, ou peut être dans 50 ans, pourquoi pas dans 100 ans, est-ce que nous allons avoir la possibilité de se retrouver ici pour passer de bons moments ensemble ? Moi, Cheick, je ne sais pas. C’est pour ça qu’à chaque fois que j’ai la possibilité de passer de bons moments, je profite. La preuve : je suis là aujourd’hui avec un petit cadeau pour mon ami. Bien sûr, j’avais envie de faire un cadeau à tout le monde. Maintenant je vais donner ça à mon ami (un maillot pour Julien Cazarre), mais j’ai un cadeau pour vous : c’est que je vous aime tous. Je profite du moment, pour aller serrer mon ami dans mes bras parce que j’aime bien ces mecs-là”.

    Dans la rubrique de Julien Cazarre, il est revenu sur le tacle de Nicolas Pallois face à Saint-Étienne il y a deux semaines, qui lui a valu un carton rouge. Selon Cazarre, le rouge est sévère, quand on se remémore un ancien épisode entre nos deux clubs. En 1995, Didier Sénac, défenseur des girondins, marche sur la tête d’un stéphanois, sauf que c’est ce dernier, victime de l’agression, qui est expulsé. Une situation montrant l’évolution entre les années 90 et les années 2010.

     

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