Il a été demandé à Jocelyn Gourvennec, en conférence de presse d’avant Marseille, s’il avait eu une évolution personnelle cette saison avec un nouveau club comme les Girondins de Bordeaux à entraîner. « Le métier reste le même, dans un contexte qui est différent pour moi, dans un club huppé de Ligue 1, un club historique en France. C’est plus dans l’appréhension et de mon groupe et de l’environnement que j’ai avancé cette saison. Entre le début de saison et maintenant, j’ai une vision qui est plus globale et je pense plus juste, de comment ça fonctionne ici et je pense être plus pertinent aujourd’hui dans mes choix et ce que j’ai à faire en tant qu’entraineur. C’est en ça qui a une évolution ».

 

Le fait de jouer le haut de tableau est quelque chose qu’il a déjà connu, à un niveau inférieur. “Jouer le haut de tableau c’est un petit peu différent, mais ce sont des choses que j’ai déjà connues en National et en Ligue 2 avec une fin de saison où tout se joue, où tous les matches sont couperet. Et jouer le haut de tableau, c’est jouer le haut de tableau. Les ressors psychologiques, les clés de management sur le groupe sont les mêmes. Ce qui change simplement c’est que le niveau se resserre : le très haut niveau en Ligue 1 pour jouer le haut de tableau. Les équipes sont très proches les unes des autres et le talent est partout. Mais sur la gestion du groupe, il n’y a pas de nouveauté pour moi ».

 

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