Avec du recul, Jocelyn Gourvennec a tenté d’expliquer le fait que les Girondins n’aient pas pu aller chercher plus qu’un match nul face à Dijon et Saint-Étienne. La crispation pourrait être l’explication principale. « C’était deux matches à l’extérieur, difficiles, un peu particulier. Il y avait, hors de nos bases, un peu de crispation sur le fait de se dire qu’il ne faut pas qu’on se rate, parce que si on se rate on entame notre fin de saison. Il y a eu un peu de crispation. Et se dire que les deux derniers matches sont Marseille et Lorient, il faut qu’on soit positionnés pour ces deux matchs-là. Et pour ça il ne fallait pas se rater sur Dijon et Saint-Étienne, c’est ce qu’on a fait. Alors, ça n’a pas été suffisant pour rester devant Marseille, mais on a répondu présent, en étant moins fluide c’est sûr… Mais c’est aussi le contexte et l’histoire de ces matches-là ».

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