Jérôme Dauba a fait part de ses leviers, ce sur quoi il s’appuie en cette fin de saison pour tenir l’équipe féminines des Girondins de Bordeaux à flot.  « Tant que mathématiquement on n’est pas mort, il faut y croire jusqu’au bout. Et puis, c’est de se dire que plus on avance, moins il faut calculer et se prendre la tête, puis jouer les équipes ! C’est toujours trouver des leviers. Lyon, le levier c’était de se dire que tous les ans, en fin de championnat, elles passent un peu au travers face à une équipe du bas de tableau. Il s’est avéré que contre nous, c’est passé très près… Et puis, contre Marseille, on a activé d’autres leviers sur le plan mental, et il y en aura d’autres d’activés face à Juvisy et Paris. Même si c’est plus facile parce que derrière on se donne deux finales à jouer. Juvisy n’a rien à jouer, nous on a une première finale. Et peut-être ensuite se donner la possibilité de jouer le maintien à Paris. Sur le plan mental, ça se fait naturellement parce qu’on est au pied du mur, et on a deux supers matches qui nous attendent […] Chez les garçons, c’est leur métier, ils sont programmés à ça. Les filles, elles travaillent toutes à côté et il y a une usure sur le plan mental avec leur boulot, leurs études… Quand elles viennent à l’entrainement, elles ne sont pas toujours disposées à faire les efforts sur le plan mental. Il faut réussir à trouver les aménagements à l’entrainement pour essayer de les mobiliser, et collectivement ».

 

GoldFM

Retranscription Girondins4Ever