Jocelyn Gourvennec a été questionné, des suites de le match entre l’OL et le Besiktas, sur les fameux tirs au but après prolongation. « Ça dépend des entraîneurs. Souvent on demande aux joueurs qui se sent, ou qui ne se sent pas, parce que les degrés de fatigue sont différents. Il y en a qui savent très bien tirer, donc ils veulent les tirer. Et parfois il y en a qui se sentent trop fatigués ou pas en confiance pour les tirer, donc qui refusent de tirer. Ça arrive ».

 

 

Puis il embraya sur les pénaltys en pleine rencontre. « Je m’en fiche si un joueur sur qui la faute a eu lieu veut tirer le pénalty. C’est au joueur de le dire. Parfois il y en a qui ne se sentent pas le tirer, ou qui ont pris un coup. C’est en bonne intelligence. C’est au joueur de répondre et de prendre ses responsabilités ».

 

L’entraîneur des Girondins conclut, sur la victoire lyonnaise. « Les séances de tirs au but sont toujours très indécises, ça ne se joue pas à grand-chose, on l’a vu encore avec Lyon. D’aller chercher ça à l’extérieur, à Besiktas, c’est une perf’ ».

 

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