Plasil : “Ce que le coach me demande, c’est de tenir le ballon et d’apporter ce truc à l’équipe”

     

    Invité sur le plateau de GirondinsTV, le tchèque Jaroslav Plasil a revécu la victoire bordelaise à Nantes en abordant le sujet des Ultras, des fumigènes nantais et de la physionomie du match. “C’était un match très compliqué mais on le savait en allant là-bas. Ce qui était bien c’est que nos supporters pouvaient être là. Franchement, c’était très bien de pouvoir partager ce moment avec eux […] Quand il y a eu les fumigènes, on a surtout eu peur pour Cédric depuis le banc. S’il y a un truc qui le touche, ça aurait pu être grave. Franchement ça fait peur et surtout pour lui. Ce n’était pas un joli moment […] La première mi-temps, ce n’était pas très beau. Il fallait répondre au défi physique et c’est ce que l’équipe a fait. En seconde, on a pris l’ascendant sur eux et on s’est créé des opportunités. Le plus important c’est d’ouvrir le score, Younousse l’a fait et on a tenu jusqu’au bout. C’était vraiment important d’aller s’imposer là-bas car il n’y a pas beaucoup d’équipes qui l’ont fait. On va essayer de continuer sur notre lancée”.

     

    Il a ensuite enchaîné par une analyse personnelle du match, à partir de son entrée à la 80ème minute. “Quand je rentre il reste dix minutes, donc on n’a pas trop le choix. Ce que le coach me demande, c’est de tenir le ballon et d’apporter ce truc à l’équipe. On essaie de se défoncer sur le terrain, c’est tout”.

     

    Dans le même temps, son coéquipier et ami Nicolas Maurice-Belay effectuait son retour dans le groupe face au FC Nantes. “Il a beaucoup galéré. Il a fait énormément d’efforts donc c’est bien pour lui d’être de nouveau dans le groupe. Tout le monde l’a félicité. Maintenant, il faudrait qu’il joue un peu et qu’il retrouve le plaisir de jouer en Ligue 1. Ce n’était pas évident pour le coach de le faire rentrer face à Nantes”.

     

    Retranscription Girondins4Ever