Face à Metz, à contrario de Nice ou Angers, la réussite devant le but retrouvée, comme l’a constaté Marius Trésor. « Après il y a aussi la façon dont se comporte l’adversaire. Le match face à Nice, c’était à Nice et peut-être que l’on n’a pas su se libérer comme il le fallait. On a vu qu’il nous avait fallu une mi-temps pour vraiment rentrer dans le match malgré l’ouverture du score. En deuxième mi-temps, si tu as un Kamano en réussite comme je l’ai dit c’est l’homme du match. Les occasions qu’il a eues d’habitude il ne les manque pas. Là malheureusement pour nous, il les a manquées sinon Lyon aurait encore plus chaud aux fesses car si l’on avait gagné à Nice ; on serait à deux points de Lyon. Mais parfois la réussite n’est pas là. Tandis que contre Montpellier où l’on gagne 5 à 1, on ne peut pas dire que l’on avait été vraiment flamboyant mais tu en mets cinq. Là tu en mets trois. Tu as ton gardien qui te permet de garder tes buts inviolés. J’espère que cette réussite va continuer. Il ne reste plus que six matches ».

 

Et pour éviter de reproduire ce manque de réalisme face à Nice, François Kamano doit travailler pour être plus tueur. « Il y a aussi la technique, la façon de mettre en difficulté son adversaire. Quand on voit Ronaldo et on l’a vu contre le Bayern, c’est du costaud. Ce sont des garçons qui ne font pas n’importe quoi sur un terrain. Ils savent être collectifs comme de temps en temps être individuels. Chez nous parfois on a l’impression qu’on joue un peu plus sur le côté individualiste que sur le côté collectif. Ça fait manquer des choses qui paraissent immanquables ».

 

Gold FM

Retranscription Girondins4Ever