Ulrich Ramé a fait le bilan de la première partie de saison de l’équipe féminine. « Il y a plusieurs points. D’une part, la découverte du niveau, puisque l’ossature de l’année dernière est restée. Donc elles ont découvert pour la plupart ce niveau-là. Il y a le renfort de certaines joueuses qui ont, elles, connu le niveau et se sont bien intégrées à l’effectif. En termes de résultats, on est sur des choses un peu plus compliquées. On va dire que les deux faux pas qui sont marquants c’est contre Soyaux et Rodez. Au-delà de ça l’équipe progresse, dans le jeu, au niveau athlétique aussi, la marche est vraiment très importante entre la D2 et la D1. Petit à petit elles font en sorte de pouvoir résister et d’avoir des résultats. Pour le moment c’est relativement difficile mais l’équipe progresse et nous ne sommes toujours pas dans les deux dernières, donc l’espoir est là. Le contenu est meilleur donc c’est plutôt positif. On pensait que ça aurait pu être plus compliqué sur la seconde partie de saison. Il y a deux équipes qui descendent. On a des matches importants qui arrivent, notamment au mois de février avec des confrontations directes avec les équipes derrière nous ».

 

L’équipe a dû s’adapter, en passant de la D2 à la D1, à des critères de jeu différents. « La marche est très haute parce qu’athlétiquement, et intrinsèquement, les joueuses ont d’autres qualités que la D2. Cela veut dire aussi qu’on est plus vite sous pression, que le rythme est plus élevé pendant 90 minutes. Il y a cette différence qui est ni technique, ni tactique, mais sur ce point la marche est vraiment différente et importante. Donc derrière, cela a des conséquences sur la technique et sur l’aspect tactique“.

 

GirondinsTV

Retranscription Girondins4Ever