Après la série de contreperformances des Girondins, Jocelyn Gourvennec veut garder un discours positif. “Bien sûr, c’est le rôle de l’entraîneur ou alors on envoie tout balader, on fracasse les joueurs dans tous les sens. Ça peut marcher, je n’y crois pas trop. Ça marche un temps mais ça ne marche pas sur la durée. Ça crée surtout des précédents qui ne sont pas bons pour un groupe. Une saison, c’est long. Il y a des moments qui sont difficiles. Là, on vient de perdre trois fois et ce n’est pas agréable. Mais on continue notre travail ensemble, on fait corps. Il faut rester uni. On a été capable de battre Nice mercredi, on doit être capable de les rebattre à nouveau mercredi en championnat”.

 

Justement pour battre Nice, le coach bordelais passe en revue les forces bordelaise sur le match de Coupe et ce que les Girondins devront reproduire ce mercredi. “D’être plus proches les uns des autres et quand vous êtes plus proches, vous vous sentez plus costauds. On a peut-être pensé à Montpellier qu’en jouant plus et en défendant moins ça passerait, ce n’est pas le cas. On a été punis là-dessus. On doit garder cette envie de rester liés, très durs à jouer ensemble. Parce que ça, ça donne de la force. Et ça bonifie en plus votre jeu d’attaquant. Quand vous vous sentez costauds défensivement, généralement, vous êtes plus performants ensuite pour l’utiliser“.

 

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