Entre “30 et 40%” du salaire en part variable selon triaud

     

    Jean-Louis Triaud a commenté la méthode de fonctionnement aujourd’hui au club concernant la grille des salaires. Ainsi, avec les départs de Cheick Diabaté, Clément Chantôme ou encore Lamine Sané, Bordeaux a pu s’épargner de gros salaires (100000€ pour les deux premiers, 80000€ pour le dernier). « Il y a des garçons qui nous ont quittés qui avaient des salaires significatifs. C’était dans la stratégie, pas de se débarrasser d’eux, mais de revenir à une grille de salaires plus en conformité avec nos ressources. Surtout, on est partis du principe qu’il y a un salaire de base garanti, puis une association à la performance du club ».

     

    Mais surtout, l’objectif du club était, à l’image de Saint-Étienne, d’inclure une part variable en fonction des performances de l’équipe, comme l’explique le Président Bordelais. « Des garçons comme Toulalan et Ménez ont dû s’adapter à nos principes de rémunération. On part sur des salaires qui peuvent paraître très, très élevés pour le commun des mortels, mais qui sont raisonnables dans le football. S’il y a des résultats financiers, on veut bien que les joueurs y participent. Mais il faut aussi limiter nos risques[…] Le pourcentage du salaire global des joueurs peut être entre 30 et 40 % ».

     

    L’Equipe