Dans son édition du jour, Le Parisien a consacré un article au développement du football féminin. On y retrouve notamment des propos de Jean-Louis Triaud. Le président bordelais a fini d’être séduit après la Coupe du Monde de  l’année dernière au Canada : “Le foot féminin se développe, et il n’y avait pas de raison d’en être absent plus longtemps […] C’est là que j’ai vraiment découvert ce sport. J’ai été agréablement surpris par le jeu dynamique et technique. Et j’entendais souvent dans mon entourage qu’elles couraient plus que les garçons ».

 

Si les équipes de Lyon et du PSG disposent des plus gros budgets d’Europe (5 et 7 millions d’euros), c’est loin d’être le cas des Girondins (500 000€) : “Même si nos moyens n’ont rien à voir avec Paris ou Lyon, nous donnerons tout pour rester dans l’élite”.

 

De son côté, Ulrich Ramé assure que « le football féminin est devenu un secteur de développement
important pour le club et pour son image ».

 

En tout cas, Patrice Lair, le coach des filles du PSG, est satisfait de pouvoir rencontrer notre club : “C’est toujours valorisant de jouer les Girondins, c’est une marque dans le football. Ce sont de vraies affiches qui peuvent amener plus de gens au stade. Ça crédibilise le foot féminin. »