Au micro de GoldFM, Jean-Louis Triaud revient sur les deux dernières recrues sud-américaines des girondins et n’oublie pas de souligner l’implication de l’actionnaire dans ces affaires. « On est heureux de les avoir fait venir au club. On remercie notre actionnaire qui est toujours réactif et à notre écoute. Il est tellement amoureux du club que Willy n’a pas eu besoin de beaucoup insister. Il a tout de suite eu une écoute et une oreille favorables. C’est un grand plaisir et on compte sur eux de suite. Nous poursuivons notre stratégie : des talents, jeunes de préférence, parce qu’il y a une acclimatation rapide, et parce que c’est prometteur pour l’avenir. Ce sont des talents que l’on a vus. On imagine qu’ils ont tous les trois un énorme potentiel, et si on attend que ce potentiel soit totalement avéré, ils ne seront plus disponibles pour Bordeaux, donc il faut anticiper un peu. Il y a toujours un risque, il n’y a pas de garanties dans le sport en général. La jeunesse est un facteur d’adaptation, je pense. On ne traîne pas une famille, des soucis, des contraintes, des obligations. Ils viennent, ils sont libres, et prêts à s’exprimer immédiatement. Ces deux garçons ont été observés, on a vu au moins une quinzaine de matches de chacun d’entre eux, donc ils sont dans notre base de données. C’est un peu le travail que j’ai toujours attendu de notre cellule de recrutement : des années on ne recrute rien parce qu’on n’a pas de moyens, mais le jour où on veut un poste précis, on a une réponse immédiate. C’est le cas. Ce sont des garçons que l’on connait bien, on ne les a pas trouvés par hasard dans une pochette surprise ».

 

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