Vieira Jussiê est revenu sur la période difficile que les Girondins de Bordeaux ont traversé, et ce mois d’octobre compliqué. « Dans cette période difficile, on essaye d’intervenir déjà par les paroles, surtout parce qu’on a un groupe très jeune. On essaye de motiver les mecs. Dans ce type de période, et c’est humain, mentalement on commence à lâcher. On sait qu’on fait un boulot extraordinaire et qu’on a la capacité de faire mieux que ce qu’on a fait. Mais on sait aussi qu’il n’y a que par le travail qu’on arrive à surmonter ça. La qualité est présente, ce moment difficile est là car dans un championnat il y a des hauts et des bas. La saison dernière c’était pareil, on n’arrive pas à faire un championnat à 100% à haut niveau. Ça nous est arrivé, on espère que ce sera la dernière fois. Il faut maintenant qu’on rattrape notre retard. Avec l’expérience, j’ai vécu beaucoup de choses ici. Il faut garder les idées claires, être lucide, savoir qu’on a un groupe de qualité et continuer à travailler ».

 

Interrogé sur Enzo Crivelli, le meneur de jeu brésilien estime qu’il a un beau futur devant lui. « Enzo Crivelli a un bel avenir devant lui. Il est sur une belle lancée actuellement. C’est un mec bien, déjà, avec une belle mentalité. Il va beaucoup nous aider”.

 

Et par rapport justement aux mauvais résultats, vis-à-vis des jeunes, le brésilien rappelle. « Il y a ce changement, que j’ai vécu avec plusieurs générations. Aujourd’hui, je vois la différence. Il y a une façon de parler, on doit leur parler d’une certaine manière, avec pour but que le message passe, qu’ils comprennent ce qu’il se passe lors de chaque phase. Dans ces moments difficiles, on a beaucoup parlé, discuté, ils nous ont beaucoup entendus. Pour ces jeunes, ça devait être la première fois qu’ils vivaient ça. Comme pour Enzo, les joueurs présents ont une bonne mentalité ».

 

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