Dans un encart de L’Equipe, il est aujourd’hui question du naming. Olivier Monna, du Centre de droit et d’économie du sport de Limoges, estime que la somme récoltée par an par Bordeaux, qui est de la moitié vis-à-vis de la prévision, n’est « déjà pas mal vendu ». « Culturellement, on n’est pas habitué, mais le supporter doit comprendre qu’on ne peut pas tout avoir : les meilleurs joueurs sur le terrain et ne pas dégager de revenus des infrastructures […]  On est à la fois plein d’enthousiasme et de déception car ce n’est pas la poule aux œufs d’or annoncée. On a surestimé le bienfait des stades et les montages en PPP ont divisé le gâteau en trois, alors qu’auparavant il était en deux (le club et la collectivité locale ».

Ci-dessous, la présence du naming en Europe.