Plasil : “À l’époque, si on ratait quelque chose, on se faisait pourrir”

    Jaroslav Plasil

     

    Jaroslav Plasil, qui a confié se plaire dans ce rôle de joueur expérimenté auprès des jeunes, rappelle qu’à une époque pas si lointaine, on ne prenait pas forcément des pincettes avec la jeunesse. “J’écoutais, et j’ai surtout beaucoup appris en regardant. À l’époque, si on ratait quelque chose à l’entraînement, on se faisait pourrir…”. Une attitude aujourd’hui différente donc. “En tout cas, ne pas être sur les gars tout de suite, y aller petit à petit. Chacun réagit différemment, ce n’est pas évident. Avec Cédric (Carrasso), ‘Jus’ (Jussiê), Nicolas (Maurice-Belay) ou Henri (Saivet), des joueurs d’expérience, on essaie de tirer le groupe vers le haut”.

     

    Sud Ouest