Si Jean-Louis Triaud reconnait aujourd’hui sur Diego Rolan « On se demandait si on ne s’était pas trompé avec son cousin (rires) » lors de sa première année à Bordeaux, il semble aujourd’hui rassuré et sait qu’avec “les jeunes, il faut être patient”. « Il est arrivé très jeune, avec aussi le changement de pays, de continent, et d’habitudes… […] Il a voulu prouver trop vite, donc il s’est un peu cramé. C’était un gamin en plus hein, un peu tendre, un pu léger. Il a fallu qu’il s’acclimate, qu’il travaille, et puis d’être un peu souriant et détendu parce qu’au départ il était un peu crispé. C’est un bon garçon ».

 

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