Jaroslav Plasil, efficace travailleur de l’ombre contre l’OM (voir ICI), était au micro d’Alain Bauderon. Il a d’abord insisté sur la notion de plaisir. “Je pense qu’on a fait plaisir à nos supporters et on s’est fait plaisir nous aussi. C’est tout ce qui compte.” En bon mathématicien, il remarque : “Trois points, c’est toujours mieux qu’un. On recolle un peu plus aux équipes de devant. On est vraiment très heureux.” Beau joueur, l’international tchèque a eu ensuite un mot pour son adversaire malheureux : “Contre une équipe comme ça, c’est toujours dur. Ils sont troisièmes (il se corrige, ils ETAIENT troisièmes), ce n’est pas pour rien qu’ils sont restés à cette place toute la saison.” Les victoires rapprochées contre deux prétendants au titre lui laissent-elles des regrets ? Pas le moins du monde. “On est trop irréguliers, on bat Paris, on bat Marseille, mais on va perdre à Toulouse. On doit encore progresser dans ces matches-là. Mais on ne sait jamais. Si on remporte beaucoup de points (il en reste 18 à prendre, ndlr), il y aura peut-être une bonne surprise à la fin…”.

 

Retranscription Girondins4ever de GirondinsTV