Le club, par l’intermédiaire d’Alain Deveseleer, est-il inquiet à l’approche du changement de stade, et plus précisément au niveau du Nouveau Stade ? La réponse est non. Stressé ? Un peu, la faute à un timing très serré. “C’est un petit peu le même réflexe qu’en matière de sport, vous n’avez jamais d’inquiétude avant de démarrer un match. Cet objectif a été fixé pour le club, c’est un moment suffisamment important. Nous nous sommes dotés des moyens nécessaires pour y parvenir donc on n’a pas de raison pour être inquiet. On a des raisons d’être stressé parce que la masse de travail est colossale mais tout le monde s’attache à ce premier match, au bon fonctionnement du stade. De toute façon, derrière nous, il y a deux demi-finales de Top 14 donc il faut que ce stade marche, la question n’est pas de savoir si on est inquiet, la question est surtout de gommer les incertitudes au fur et à mesure. On est dans un processus très serré, très dense. La commission de sécurité va se réunir le 9 avril, ça veut dire qu’aujourd’hui elle ne s’est pas réunie. L’homologation interviendra dans la foulée donc le stade n’est pas encore homologué pour recevoir une partie officielle, on est dans un timing très serré”.

 

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