Plasil : “J’ai besoin de représenter mon pays”

    Plasil Republique Tchèque

     

    Questionné par la presse de son pays, Jaroslav Plasil répondra aux sujets de son retour avec la sélection. “J’étais désolé de ne pas être là depuis presque un an mais le coach fait ses choix et je dois l’accepter. Je suis le premier supporter, le fan numéro 1 de la République Tchèque donc je regardais tous les matches et je voulais que l’équipe gagne à chaque fois. C’est mon pays et j’ai besoin de le représenter […] Tout le monde a le droit d’avoir une idée de la façon de jouer d’un joueur qu’on ne prend pas, mais je suis entrain de jouer de mon mieux et l’entraîneur peut vous appeler. Même si lors du dernier match nous avons perdu avec Bordeaux, je pense que j’ai retrouvé du plaisir. Si l’entraîneur m’a appelé, cela signifie que mes performances sont meilleures ces derniers temps. Il est vrai que je n’étais pas là pendant un an, je suis content de pouvoir être ici et je peux aider l’équipe. Nous avons parlé avec l’entraîneur en Janvier, je veux continuer avec l’équipe et je veux continuer à représenter mon pays, je lui ai dit ce que je vous dis maintenant. C’est pour moi toujours un grand honneur de représenter son pays. J’ai été surpris qu’il m’appelle, mais mon club montre maintenant un bon football, tout le monde dans l’équipe est entrain de faire un début de saison solide, donc ce n’est peut être pas une si grande surprise que ça”

     

    Va t-il jouer les prochaines rencontres ? “Je suis ici pour aider l’équipe si je suis sur le terrain. D’autre part, les joueurs qui étaient là contre la Hollande méritent de jouer contre la Turquie […] Je suis très flexible, donc ce ne sera pas difficile pour moi de comprendre ce que l’entraîneur voudra de moi et comment il veut jouer. Tout dépendra de la façon dont nous allons rentrer dans ce match. Peut être que les deux équipes pourront se satisfaire d’un match nul, peut-être que ça ne sera pas suffisant. Je suis sûr que les turcs vont maintenant jouer pour récupérer des points après la défaite 3-0 en Islande. C’est certainement leur public qui va faire la différence, donc ça ne sera pas facile du tout. On va jouer dans le nouveau stade de Fenerbahçe, où l’ambiance est toujours spectaculaire. Ils ont aussi beaucoup de bons joueurs là-bas […] Le meilleur souvenir contre les turcs, bien sûr, c’est qu’il y a deux ans nous avons gagné deux à zéro, et le pire quand nous étions avec eux à l’Euro 2008, nous avions perdu 3-2. Ce sont des choses qui arrivent dans le football”.

     

    Traduction Girondins4ever