Francis Gillot, après la rencontre, est revenu sur la prestation de son équipe. Comme nous, il ne comprend pas pourquoi les joueurs n’arrivent pas à se libérer : «Quand on fait autant d’avion et des journées comme ça, c’est pour jouer au football. On n’a rien à craindre, on n’a plus rien à espérer ou presque avant ce match. Si on gagnait les quatre derniers on pouvait encore gagner une place. Mais là franchement… Il n’y a pas à avoir peur. Je ne sais pas pourquoi on n’arrive pas à se libérer dès la première minute. On est toujours en train de jouer derrière, petits bras, on se cache. J’ai horreur de ça, c’est un truc qui m’horripile».

 

 

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