Jean-Louis Triaud, « un vrai mec bien »

     

     

    Nombreux sont ceux qui reconnaissent à Jean-Louis Triaud des qualités humaines indéniables, étant notamment reconnu pour sa gestion « paternaliste ». Dans le portrait dressé par le quotidien l’Equipe, José Barroso les illustres par différents propos, à commencer par ceux de Christophe Dugarry, ancien joueur du club et actuel consultant pour Canal +, qui se montre peu avare en reproche envers son ancien club ces derniers mois : « Je ne suis pas d’accord avec toutes ses décisions, mais j’adore le personnage. Il est attachant, franc, digne. Il ne faut pas oublier qu’il vient du rugby. Il joue beaucoup sur l’affectif. C’est un vrai mec bien. »

     

    Outre le monde du football, elles sont également appréciées dans plusieurs domaines. Roland Feredj, côtoyé au conseil interprofessionnel des vins de Bordeaux, se montre également élogieux « Il sait manager, est direct et efficace, ne cherche pas à biaiser. C’est quelqu’un d’éminemment sympathique, avec qui on a envie de travailler, même quand on n’est pas d’accord. » Jean-Louis Triaud semble aussi à l’aise dans le monde de la politique, à l’image de cette anecdote livrée par Alain Juppé, actuel maire de la ville de Bordeaux : « Lors de la campagne municipale de 2008, il m’a accompagné sur certaines réunions publiques. Avec les jeunes de quartiers, il avait une certaines familiarité, une facilité de contact. » Poussant d’ailleurs la comparaison avec l’ancien président de la République, Jacques Chirac : « Par son sens de l’humain, il y a de çà. »

     

     

    Enfin, son ancien directeur général, Jean D’Arthuys, se montre également très élogieux sur les compétences de Jean-Louis Triaud à ce poste, et les rappelle au cours de cet entretien : « Sa grande qualité, c’est qu’il est capable de faire la synthèse entre les contraintes et les ambitions. Certains dirigeants de club peuvent devenir mégalos ou jouer la sécurité pour ne rien risquer. Lui a le profil complet qui en fait un très bon président. Il sait parler aux joueurs, descendre dans l’arène des supporters, se faire respecter par l’actionnaire et embaucher un entraîneur. »

     

     

    Retrouvez l’intégralité de ce portrait du président des Girondins de Bordeaux dans l’édition du jour du quotidien l’Equipe.