Il suffit de lire certaines réactions récentes sur Francis Gillot de la part de certains journalistes locaux, que ce soit sur Twitter ou dans la presse, pour se rendre que les écrits dans l’Est-Républicain du jour semblent proches de la réalité :

 

“Gillot agace le sérail « Bordo-Bordelais » à qui il a vite fait la guerre en arrivant. Mais il bénéficie du soutien de l’actionnaire principal. L’artisan de sa venue en Aquitaine, c’est M6. Et Nicolas de Tavernost a déjà dit qu’il invaliderait le changement pour le changement.”

 

 

Vous pouvez lire ce très instructif article dans l’Est-Républicain du jour.

 

Et si le mal bordelais n’était tout simplement pas ce microcosme bordelo-bordelais qui commence à sentir le renfermé ? Par le passé, d’autres coachs se sont plaints des habitudes locales qui refuseraient d’être secouées.

 

Vite ouvrez les fenêtres du Haillan, on a besoin d’air frais !