A la découverte de… Jean-Louis Triaud

    Le journal Libération, peu concerné par l’actualité des Girondins de Bordeaux, avait écrit un article le jour de la finale de la Coupe de France dressant un portrait assez intime de Jean-Louis Triaud. Nous vous proposons de le lire ici.

     

     

    Extraits :

     

    “Accessible et cash au point de sembler sincère, Jean-Louis Triaud n’en demeure pas moins un de ces hommes conscients du poids du «relationnel», un des mots qu’il utilise le plus. Même s’il possède un vieux Nokia tout abîmé, il sait que le carnet d’adresses qui s’y trouve est son meilleur outil de travail. Il le laisse sonner lorsque Jean-François Larios, un ancien international devenu agent de joueurs, fait le forcing. En revanche, il le décroche de bon matin pour demander à son fils Jean, 30 ans, d’envoyer un message au président du club anglais de Crystal Palace à la veille d’un match crucial. Son homologue est aussi un poids lourd chez les courtiers viticoles de Londres, la place qui bouscule l’influence bordelaise auprès des nouvelles mecques d’acheteurs que sont Hongkong ou Singapour.”

     

    “Le président des Girondins évoque ses projets dans le vin avec plus de passion que ses aventures footballistiques où il a parfois «l’impression de tourner en rond» avec les mêmes problèmes : l’argent et les droits télé, les transferts de joueurs («la pire période de l’année» – elle vient de s’ouvrir), les négociations des primes avec son groupe «de bons garçons» dont à ses yeux peu sont sortis du lot (Dugarry, Lizarazu, Grenet, Jurietti, Laslandes…).”