Ducasse “Pas encore fait mon choix”

    Annoncé du côté du RC Lens, Pierre Ducasse vient de confirmer les contacts avec le club nordiste dans une interview accordée à la Voix du Nord. Se trouvant en fin de contrat, le joueur formé aux Girondins de Bordeaux est libre de s’engager avec le club de son choix.

     

     

     

     

     

    Pierre Ducasse, qu’en est-il réellement de vos contacts avec le RC Lens ?

    « Lens garde une image très positive. C’est un projet sportif qui est évidemment très intéressant. C’est une satisfaction. J’ai des contacts avec des clubs de Ligue 1. Je n’ai pas encore fait mon choix. Mais il est clair que Lens a attiré mon attention. J’ai toujours aimé ce club. Lens m’a fait savoir qu’il s’intéressait à moi. Et cet intérêt est réciproque ! Cela pourrait se décanter très rapidement ».

     

    Malgré la descente en L2, le Racing a donc des chances de vous voir arriver ?

    « Oui. Quand on parle de Lens, on ne pense pas à la Ligue 2. On voit un peu plus large. Le club est certes descendu. Mais il a pour ambition de remonter rapidement. Je connais aussi très bien Jean-Louis Garcia. J’ai travaillé avec lui à Bordeaux ».

     

    On dit de vous que vous êtes un « animateur de vestiaire » et que vous aimez beaucoup rigoler. Est-ce le cas ?

    « J’ai toujours eu cet état d’esprit. J’aime bien rigoler. C’est vrai que j’aime plaisanter. On m’a donc collé cette image de déconneur mais ça ne me dérange pas. Quand je prends mon sac le matin, avant de venir à l’entraînement, je suis vraiment très heureux. On fait quand même un boulot formidable. J’aime profondément ce métier. Alors, être de bonne humeur, c’est la moindre des choses. Cela fait partie de mon caractère »

     

     

     

    A noter également que Jocelyn Blanchard, le nouveau directeur sportif du club lensois, a également confirmé que Lens travaillait sur les dossiers de Pierre Ducasse, mais aussi d’Henri Saivet.

     

    « On travaille sur ces dossiers, comme sur d’autres, tout en sachant que notre marge de manoeuvre n’est pas très large pour des raisons budgétaires. Or, en matière de transferts, il est toujours mieux de verrouiller les affaires très vite »